1 août 2006

Billet d'humeur

Il est temps que revienne le temps de la sérénité

Le maire qui invective, qui éructe, qui menace, qui cogne, qui insulte, qui quitte le conseil municipal le 26 mars 2006 sans motif si ce n’est sur un mouvement d’humeur car on avait osé le contrarier.
Voilà le quotidien de la vie municipale dans notre village qui ne demande qu’à vivre paisiblement.
Comment la majorité peut-elle suivre aveuglément «le chef» sur ce terrain glissant?
Il est temps que la majorité municipale se ressaisisse en respectant les aspirations de la population et ne discrédite pas plus longtemps les femmes et les hommes de La Brigue.



Une Fête Nationale rabaissée au rang de réunion électorale

On a lar­ge­ment pa­voisé aux cou­leurs tri­co­lo­res pour le 14-Juillet et nous nous en ré­jouis­sons et, enfin ! on a entendu « La Marseillaise » de­vant le monument aux Morts. Mal­heu­reu­se­ment, le reste de la cérémonie n’a pas été à la hauteur de la commémoration de l’évènement fondateur de la France moderne républicaine. Dans toutes les communes de l’Hexagone, le discours officiel est destiné à exalter les va­leurs de la Ré­pu­bli­que, partout, sauf à La Brigue.
Là on évoque « la Révolution, âme de la nation démocratique », ailleurs, on met l’accent sur les trois piliers fondateurs d’une société libre, juste et fraternelle.

A La Brigue, on a eu droit à l’habituel dérapage minablement électoraliste sur fond de règlement de comptes personnels. Beaucoup de concitoyens en ont été choqués et ont demandé si une loi interdisait à la minorité de prendre la parole pour un élémentaire droit de réponse. Dans les cérémonies officielles, un protocole codifié prévoit la disposition des élus et des représentants de l’Etat à la tribune, ainsi que l’ordre de prise de parole. Quoi qu’il en soit, notre profond respect pour le village nous empêche de créer des incidents, surtout devant les invités venus de l’extérieur. Mais on comprendra que certains limitent leur présence à la partie officielle de la cérémonie.
Qu’un maire rende compte régulièrement de son mandat, c’est tout à fait souhaitable, mais il y a un temps pour tout : celui de la cohésion du village au sein de la Nation, celui des retrouvailles festives et celui du quotidien municipal. Le mélange des genres porte en soi le discrédit.


Retour au Moyen-Âge

Autre particularisme brigasque : une double inauguration pour un même objet : le samedi pour les gens « d’en haut » et le dimanche, pour le menu peuple. Comme au Moyen-Âge en somme, lorsqu’on cachait au seigneur et à sa cour en visite officielle tout ce qui n’était pas présentable et qu’on faisait surveiller les rues par les gens d’armes de crainte de « jacqueries » (révoltes paysannes). Mais depuis, les sujets sont devenus des citoyens libres et égaux en droits, grâce justement au 14-Juillet et, ... ils savent se comporter civilement, se tenir à table, au moins aussi bien que les autorités qui ne sont des « autorités » que par la volonté du peuple, de ce peuple qu’on a méprisé. Notons en passant que c’est le maire seul, et non comme le veut l’usage avec le conseil municipal

Editorial du bulletin d'information de vos élus - N°7

Elus depuis cinq ans au conseil municipal, toujours «sur le pont», nous avons tenu nos engagements, notamment en vous écoutant et en vous informant (bulletins d’information, panneau d’affichage, presse, rencontres annuelles...)

Nous poursuivons en préparant un nouvel outil: le blog, qui facilitera le travail en commun (disponibilité, information éclairée, échange d’idées et d’informations, décision partagée...)

Il faut en effet cesser les « querelles de chapelle», arrêter de stigmatiser les uns et les autres en fonction de ses origines, de ses opinions, de son appartenance à une association ou non...

Ensemble, nous devons construire l’avenir de La Brigue.
Nous nous retrouverons, au-delà des individus, pour un exercice source de satisfaction en répondant à vos besoins.

Comme vous le savez, nous avons pris à bras le corps depuis cinq ans le défi d’obtenir la transparence dans la gestion municipale.

Avec notre blog, lieu supplémentaire de rencontre et d’échange, nous relevons un nouveau défi: celui de vous offrir un projet d’ouverture et de convergence.

Au-delà des obligations quotidiennes de chacun, nous vous proposons de réfléchir ensemble et de travailler, main dans la main, pour La Brigue.

Afin de mieux connaître vos aspirations, nous élaborons un questionnaire qui sera diffusé prochainement. Soyons nombreux pour réussir ce pari rassembleur.

ENSEMBLE ! SOYONS SOLIDAIRES POUR LA BRIGUE

Améliorer la qualité de vie doit être une priorité


Quelques propositions que nous vous soumettons:

- Favoriser un véritable accueil à la Mairie avec des plages horaires plus larges, notamment le samedi matin.

- Renforcer les services à la population.

- Aider à la réhabilitation du foncier et de l’habitat.

- Valoriser les espaces publics.

- Utiliser rationnellement le terrain de la gare et les équipements.

- Faciliter la pratique sportive pour tous.

- Demander instamment l’amélioration de la couverture de la téléphonie mobile ( Morignole ).

- Réaliser des projets communs en favorisant l’intercommunalité.

- Faciliter enfin la participation citoyenne à la vie communale par des commissions mixtes.

- Etre conscients de la richesse, de la diversité mais aussi de la fragilité des sites.

- Prévenir les risques naturels.

- Soutenir le maintien des populations.

- Tendre la main à ceux qui souffrent ( créer par exemple un cabinet médical secondaire ), à ceux qui proposent, à ceux qui veulent réaliser.


Ensemble nous continuerons avec détermination et humanité à chercher des solutions ambitieuses, efficaces mais responsables pour améliorer la vie des Brigasques.

Nous avons le souci de respecter les contribuables locaux en évitant les gâchis

- Pourquoi le maire a-t-il pris seul, sans mise en concurrence, la décision de faire un emprunt de 350 000 €, auprès de la Banque Dexia, pour le financement de divers travaux, alors qu’il avait connaissance d’une offre plus avantageuse du Crédit Agricole? (décision du maire du 22.07.2004)

- Pourquoi le 1er adjoint aux Finances reste-t-il sourd à nos demandes d’explications?

- Pourquoi, également, sans information de la Commission des Finances, le maire a-t-il ouvert, toujours auprès de Dexia, une ligne de trésorerie d’un montant de 250 000 € (décision du maire du 8.12.2004) et a effectué son renouvellement le 8 novembre 2005.? D’autres organismes bancaires ont-ils été consultés? Pourquoi l’équipe du maire reste-t-elle silencieuse?-Il en est de même avec la réalisation , encore auprès de Dexia, d’un emprunt de 67 000 € ( décision du maire du17. 05. 2005 ).

- Pourquoi le renflouement des caisses municipales est-il à géométrie variable? En effet, le maire et sa majorité renoncent allègrement à se faire rembourser 21 342 € par l’O.P.A.M. mais envoient l’huissier chez un handicapé pour récupérer...50 €! Discrimination?

-Pourquoi le maire et sa majorité lancent-ils certaines études en sachant qu’elles ne seront jamais suivies d’effet?

- Pourquoi le paiement des factures de l’eau et de l’assainissement est-il avancé d’année en année ( d’abord septembre et maintenant février ) ? Les finances de la mairie seraient-elles aux abois?

- Comment se fait-il, concernant le château Lascaris, que soit présentée en Conseil Municipal une délibération que ne votent ni le maire, ni sa majorité, bloquant ainsi toute restauration?

-Le maire annonce une nouvelle fois l’inauguration des gîtes. Nous précisera-t-il à cette occasion le coût global de l’opération ( Démolition, construction, entretien, équipements, aménagements extérieurs, remboursement des emprunts et manque à gagner par l’ouverture sans cesse différée, sans compter le feuilleton de la recherche de l’eau, d’abord par gravité puis par des forages de plus en plus profonds) ? Et pour quel rapport?

- Pourquoi la majorité municipale a-t-elle décidé d’acquérir un bâtiment pour un coût de 137 204 € (comprenant un appartement et une cave ) ( conseil du 26. 03. 2006 ). Pourquoi n’y a-t-il pas eu une étude d’opportunité?

- Pourquoi, lors de la même séance, le maire refuse-t-il un vrai débat sur le devenir de l’ancienne maison de retraite, Fondation Pacchiaudi, alors que le délabrement lui fait perdre chaque jour de sa valeur et que nous continuons à rembourser l’emprunt?

- Pourquoi n’y a-t-il pas d’entretien régulier des rues, des routes, des installations sportives?

- Pourquoi le maire et la majorité refusent-ils de renégocier le contrat d’entretien de la station d’épuration dont le coût prohibitif a entrainé le doublement des factures d’eau?

- Pourquoi le grave problème du stationnement n’a-t-il jamais été évoqué en Conseil, dans la perspective d’un aménagement global du territoire? Pourquoi la majorité se tait-elle? Pourquoi n’écoutent-ils pas les récriminations des usagers alors que les tensions montent?

-Pouquoi le maire est-il revenu sur ses arrêtés d’interdiction de stationner dans le centre historique , en faisant fi de nos propositions?

- Pourquoi y a-t-il tant de différences de prix lors des achats de terrains destinés au stationnement?

  • 1959 m² près du cimetière, très faciles d’accès, quartier Marare ( parcelle BI 209 ) pour 7 622,45 € ( 3,89 € le m² ) (conseil du 03. 07 . 2005 )
  • 592 m2 ( BI 210 ), jouxtant le précédent mais plus éloigné de la route et plus pentu au prix de 9 000 € ( 15,20 € le m² ) ( conseil du 24 . 09 . 2005 )
  • Jardin près de la Fontaine Vieille ( BM 001 ): 208 m² pour 9 000 € soit 43,26 € le m² et nécessitant de gros travaux d’aménagement dans une zone inondable et incompatible avec la proximité d’un site classé ( conseil du 24 . 09 . 2005 ) . Comparez vous-mêmes !

A noter que le premier Adjoint a voté contre au conseil du 3 juillet 2005.

Mieux vaudrait réfléchir avant d’agir et de programmer les divers investissements.

Autres questions restées sans réponses


- Pourquoi le maire et sa majorité imposent-ils, contre l’avis de tous, la création d’un trottoir avenue de France, côté jardin avec abattement d’arbres?

- Pourquoi le conseil municipal a-t-il attendu la fin juillet pour répartir aux diverses associations l’enveloppe globale pourtant votée le 26 mars, dans le cadre du budget primitif 2006, mettant ainsi en difficulté le fonctionnement de ces associations ?

- Pourquoi refuse-t-on, malgré l’engagement de l’adjoint aux finances, d’évaluer les prestations en nature aux associations, et pas seulement les chapiteaux qui assurent un service collectif ? Le 28 juillet, nous avons eu l’engagement que ce sera fait au prochain conseil...

- Pourquoi toujours autant de différences de traitement ? - Dans le déneigement: on refuse de déneiger la cour de la maison de retraiteet on déneige le chemin privé de certains...

- Dans le stationnement des cars : certains sont lourdement verbalisés, d’autres non.
Discrimination ?

La vérité sur le musée

Le maire profite des cérémonies officielles pour insinuer ou désinformer. Nous faisons donc valoir notre droit de réponse. Il en sera ainsi désormais chaque fois que nécessaire.

Preuves à l’appui (les comptes-rendus des conseils) nous avons voté à 100% toutes les délibérations concernant la création du musée tel qu’il a été inauguré les 15 et 16 juillet dernier.

Mais notre conscience d’élus responsables de nos deniers nous a dicté de nous opposer à des dépenses excessives par rapport à nos possibilités budgétaires. Nous sommes donc opposés à :

  1. L’installation d’un ascenseur (plus de 65.000 € = 426.000fr) car il existe des solutions moins onéreuses comme le monte escalier électrique que nous préconisons en priorité pour accéder aux services du premier étage de la mairie. C’est surtout l’entretien qui sera très coûteux et entièrement à la charge de la commune (comme le sont déjà le téléphone et le fax).
  2. La construction d’un nouveau local dans la cour pour un coût prévu de 28.200 € (hors taxes) dont l’utilité n’a pas été démontrée.
  3. L’achat d’un nouveau local attenant au musée pour un montant de 137.000 € ( = 900.000 francs).
Nous ne sommes pas hostiles au développement du musée, mais chaque chose en son temps et selon nos moyens. Cet achat pourra être envisagé lorsque le bâtiment Pacchiaudi cessera de se dégrader et lorsque le musée aura fait la preuve de son attrait touristique et de son dynamisme culturel.

Par ailleurs, force est de constater qu’on dépense des sommes vertigineuses d’argent public pour un musée, mais qu’on ne trouve pas quelques poignées d’euros pour construire le bloc sanitaire promis à notre berger ni pour installer des toilettes à N.D. des Fontaines. Pire,on a démoli à Cianesse un magnifique bâtiment dans lequel des jeunes voulaient créer une «filière bois». Ils ont dû partir à Saint Dalmas !

Perpétuer la tradition et sauvegarder le patrimoine, c’est d’abord permettre à ceux qui en sont les principaux artisans d’exercer leur métier, les aider de leur vivant au lieu de les “ muséifier ” lorsqu’ils auront disparu.



SAUVONS NOTRE PATRIMOINE SAUVONS LE PONT DU COQ qui en est une des pièces maîtresses

ATTENTION ! Ne faisons pas comme à Terris et à Notre-Dame des Fontaines où l’incurie de la majorité nous a coûté cher.

Une autre vérité sur l'office de tourisme

Depuis quelques mois, le maire et sa majorité ont adopté la posture de «sauveurs» de l’Office de Tourisme. La réalité est un peu différente. Lorsqu’on instruit un procès et qu’un adjoint se laisse aller en conseil à des insinuations diffamatoires, il faut entendre les divers protagonistes concernés. La mise au point suivante est utile pour éclairer nos lecteurs.


Il existait un office de tourisme présidé par le maire. Celui-ci estime (à juste titre) que la situation n’est pas conforme à la loi qui définit et encadre le Service Local du Tourisme et décide donc de démissionner pour ne pas risquer des poursuites pour « gestion de fait »(fin 2000).
La nouvelle administration connaît des difficultés financières et avance même la paie de l’employée. Avec la création des « emplois-jeunes » et malgré les démissions de M. Gayol (secrétaire) et de M. Valetta (trésorier) – nous sommes en 2002 – l’embellie permet au nouveau bureau de donner une appréciable impulsion à la promotion touristique et d’accompagner toutes les initiatives.
L’accueil est rénové et équipé en outils de communication modernes (point internet à la disposition du public), un panneau publicitaire est installé à la gare, des concerts d’orgue sont organisés.
Les agents se mettent à la disposition, sans aucune contrepartie, de toutes les associations qui en ont besoin. Le maire lui-même exprime sa satisfaction dans son bulletin municipal.
Les sources de revenus dont dispose l’office sont les entrées de N.D. des Fontaines, les visites commentées du sanctuaire et du village, la vente de produits élaborés par l’O.T. et 25% des entrées de la via ferrata. Il n’y a aucune subvention de la commune, cas unique en France à notre connaissance. Faut-il préciser que les produits des entrées et commentaires ne sont absolument pas des subventions mais la contrepartie de prestations (un billet S.N.C.F. n’est pas une subvention mais le paiement d’un service rendu).
Ces entrées sont destinées à couvrir les charges à supporter pour le fonctionnement d’un bureau, le téléphone – fax – internet, les assurances, les cotisations sociales diverses des emplois-aidés et la participation directe de l’office à certaines manifestations.
Pour être aussi complets que possible, précisons que le Crédit Agricole a offert en 2004 les dépliants sur N.D. des Fontaines (conçus et réalisés au bureau) et que le conseil municipal a accordé 1 500 € pour trois manifestations qui se sont déroulées avec succès en juin et septembre 2005, c’est-à-dire hors de la haute saison.

Enfin et surtout, l’office a toujours entièrement rémunéré l’employé saisonnier (de mai à septembre) destiné à la chapelle. Ainsi, l’ouverture du bureau était assurée tous les jours de la semaine sur une longue plage horaire, ainsi qu’une permanence au sanctuaire le matin et l’après-midi. La fermeture annuelle était limitée à trois semaines au mois de janvier.

Lorsque le dispositif « emplois-jeunes » a été supprimé, il devint évident que l’office ne pouvait plus payer (même au SMIC) deux emplois et demi sans participation communale. Il a donc demandé au conseil 2.100 € pour financer les salaires de décembre 2005 (il s’est trouvé deux conseillers pour voter contre !) ainsi que de prévoir 12.500€ pour contribuer aux salaires de 2006 (pour un poste et demi). Ainsi, le fonctionnement satisfaisant de l’office aurait pu continuer comme avant et conformément à la loi qui dispose que « l’organe délibérant doit comporter des délégués du conseil municipal et des activités, professions et organismes, intéressés au tourisme ».


Mais le maire et son entourage avaient une autre idée derrière la tête et l’occasion était trop belle pour ne pas s’en servir. Et là on retrouve la proposition avancée en son temps par M. Gayol qui voulait déplacer l’office de tourisme à la maison du patrimoine. Idée abandonnée devant le refus des commerçants.
Cependant l’ idée est reprise lorsque certains se sont rendu compte qu’on avait dépensé énormément d’argent public pour une entreprise dont on n’avait pas prévu de création d’emploi pour son fonctionnement (ouverture, surveillance etc...).
Gouverner c’est prévoir paraît-il. Ainsi, pour avoir oublié qu’après la création d’un musée il faut pouvoir l’ouvrir, il n’est pas certain que la commune sortira gagnante de l’opération qui a consisté à détruire un outil qui fonctionne par un bureau directement soumis au maire.

Certes, elle encaissera les entrées de Notre Dame et la totalité des accès à la via ferrata (en chute libre), mais elle assumera deux demi postes (donc des horaires et des prestations nettement réduites par rapport au passé) ainsi que le téléphone et fax communs au musée, enfin et surtout la construction d’un nouveau bâtiment dans la cour du bâtiment Spinelli (coût estimé: plus de 33.000 € = 220.000 fr.).



Les usagers et les contribuables jugeront.

Quelques chiffres

Les quelques données chiffrées qui sont proposées sont irréfutables car puisées à des sources officielles. Elles permettront aux lecteurs d'avoir quelques points de réfèrence sur les finances communales en attendant plus de détail dans nos prochains bulletins d'information


1 - DES DONNEES COMPARATIVES




(Source: Ministère des Finances 2004)



2 - BUDGET DE LA COMMUNE DE LA BRIGUE (2006):

La dette en capital au 01/01/06 s'élève à 948 083,30€ (6 219 016 Fr.) pour le Budget Communal (soit 182 934,11€ à régler en 2006 = 1 199 968 Fr.) alors que le produit fiscal brut attendu des 4 taxes (habitation, foncier, foncier non bâti, professionnelle) s'élève pour cette même année à 337 194€ (2 211 847 Fr.)

Ainsi, plus de la moitié (54%) des taxes que nous versons est ebgloutie par le remboursement de la dette et ce, pendant de longues années encore.



UN TRISTE RECORD: la taxe professionnelle est la plus élevée des Alpes Maritimes (source Nice Matin du 18 septembre 2005), avec un taux d'imposition de 30,07%

BUDGET "EAU ET ASSAINISSEMENT" 2006:
La dette en capital au 01/01/06 s'élève à 70 237,55€ (soit 15 835 34€ à re,bourser en 2006).
Selon le compte administratif 2005 (c'est à dire ce qui a été réellement réalisé, rien que pour la desserte en eau de Cianesse (les gîtes) on a déjà dépensé 33 580€ et il reste à réaliser pour 77 647€ (599.330 Fr.)



3 -
INDEMNITES DES ELUS ET SUBVENTIONS AUX ASSOCIATIONS:

Nous laissons aux contribuables le soin de calculer et de comparer les taux d'évolution