28 février 2008

PLACE DE NICE


- 22 février 2001, à trois semaines des élections, le maire signait un contrat entraînant le doublement de la facture d'eau.

- 22 février 2008, à 15 jours des élections, le maire donne l'ordre de commencer les travaux de restructuration TOTALE de la place de Nice et de ses abords pour un montant de plus de 300.000 euros.

Cette décision est scandaleuse car :

- la saison est encore trop hivernale
- la date choisie, si proche des élections, est indécente
- le maire ne respecte pas son engagement solennel pris devant tout le conseil municipal de consulter la population avant toute décision relative à cette place. Il s'est limité à une réunion des seuls riverains le 26 décembre 2006.

CES TRAVAUX NOUS ENGAGENT POUR PLUSIEURS GENERATIONS

A-t-on vraiment pensé à ses habitants ?

20 février 2008

MIEUX VIVRE A LA BRIGUE

Nous avons l'honneur de solliciter votre confiance pour les élections municipales de la Brigue le dimanche 9 mars prochain.
Nous présentons une équipe unie, harmonieuse, volontaire, respectant avec équilibre, les âges, les activités, les sensibilités, les quartiers. Les compétences de chacun seront très utiles pour la future gestion d’un village lourdement endetté. Cette équipe est conduite par le Docteur Bernard GASTAUD, conseiller municipal sortant qui a eu la possibilité de se familiariser avec tous les dossiers, même les plus délicats, et ainsi a pu acquérir une réelle expérience.

A cela s’ajoute le travail de préparation accompli depuis plusieurs mois par tous les membres de la liste sous forme de commissions regroupant des dizaines de brigasques qui ont fait des propositions, échangé, étudié et débattu de tous les sujets, à partir des résultats d’une vaste consultation lancée il y a un an par le groupe minoritaire sortant.
Riches de 12 membres résidant à l’année à la Brigue, gage de présence et de proximité, (salariés, entrepreneurs, membres d’associations), nous nous impliquons dans la vie communale.
Nous voulons créer une nouvelle dynamique pour notre village et pour nos écarts, dont le quotidien a été abandonné au profit de projets coûteux, voire incohérents. Nous affirmons que la Brigue retrouvera son équilibre et sa vitalité lorsque seront renoués les liens humains entre tous les membres de la population brigasque.
Notre proposition est de « mieux vivre à la Brigue ».
Cette dynamique est possible grâce à l’écoute et à la concertation. Toutes les aptitudes et tous les savoir-faire seront sollicités. Toutes les initiatives individuelles, associatives, professionnelles, seront facilitées et accompagnées.

Un véritable partenariat sera institué avec les élus (Vallée de la Roya, Département des Alpes-Maritimes, Région PACA), les différentes administrations et les institutions nationales et européennes.
Notre réflexion collective, enrichie grâce à vos observations, nous conduit à vous présenter nos engagements pour
- une vie quotidienne améliorée,
- une bonne gestion des deniers publics,

ACCUEIL - VIE COMMUNALE - SOLIDARITE



La Mairie doit être une véritable « maison commune » :
La Brigue a un devoir d’accueil vis-à-vis de tous, sans aucune discrimination.

- Les plages horaires d’ouverture seront élargies.
- La mairie sera ouverte le samedi matin.
- La poste sera défendue..
- Utile lors de l’interruption de la circulation dans la vallée de la Roya, l'information sera mieux diffusée: affichage, panneaux routiers à La Brigue, répondeur téléphonique ...
- Les salles publiques et les installations sportives doivent également avoir un accès aisé.
- La Maison des Jeunes sera réouverte.
- Tout sera fait pour accroître la couverture des réseaux téléphoniques mobiles et internet.

Le personnel administratif de la mairie sera disponible pour aider tout citoyen dans ses démarches administratives et un médiateur aura pour mission de vous aider dans vos problèmes quotidiens.

Pour rapprocher les citoyens et les élus, nous développerons les procédures de consultation directe et de participation :

- création d’un cahier de doléances et de propositions,
- mise en place de commissions mixtes comprenant autant de citoyens que d’élus par exemple pour les écarts (Morignole, Ste Anne, Bens, Vallée des Près), sur un projet (place réservée aux piétons…), sur les finances, l’animation, l’eau, les rivières, le stationnement, etc…
- réunions publiques,
- visites sur le terrain (au minimum 2 par an),
- journal municipal d’information sur la Brigue (2 à 3 par an) auquel participeront tous ceux qui le souhaitent.

Les élus ont un devoir d’écoute, de conciliation et de réconciliation.

Le village doit être propre et entretenu :

Il est insupportable d’entendre déplorer la saleté des rues tout en s’extasiant devant nos richesses architecturales.
Les résidents ont à cœur de contribuer à la propreté et à l’embellissement de notre village.
Des poubelles seront installées et les fontaines retrouveront leur fonction.

Les employés municipaux passeront au moins une fois par semaine dans les rues et les chemins vicinaux et interviendront lors de tout constat de saleté, de dégradation ou d’anomalie signalé par la population.

Nous devons mieux utiliser et valoriser le savoir faire du personnel municipal, relais essentiel entre les élus et les citoyens : les écouter, valoriser leurs compétences, leur demander d’être au service de tous, savoir organiser leurs tâches seront des actes indispensables.

En concertation avec les parents d’élèves, nous aménagerons le garage attenant à l’école en salle de cantine (à ce jour, les enfants prennent leurs repas dans une salle de classe) et de motricité (tapis, espaliers…).
Les menus de la cantine seront améliorés et affichés. L’hygiène des toilettes et de la cantine sera irréprochable.

L’avenir de la Brigue passe par celui de son école. Aussi, pour maintenir un effectif suffisant, il est important d’attirer au village de jeunes familles en leur facilitant la mise aux normes de confort des appartements à louer.

La solidarité fait partie de nos traditions et nous devons sauver nos œuvres de bienfaisance tels que les legs Pacchiaudi et Arnaldi.
L’œuvre Arnaldi doit garder son indépendance, son statut et ses biens et être rendue aux enfants de La Brigue (halte-garderie, centre aéré). Sans aucun coût pour la commune, un foyer intergénérationnel permettant des activités de soutien scolaire et d’animation ainsi qu’un point internet pourraient y trouver place.

Renforcer les services d’aide au maintien à domicile des personnes âgées, créer un cabinet médical et paramédical, aider de façon conséquente les associations, dynamiser le Centre Communal d’Action Sociale (aide aux déplacements, fourniture de bois gracieusement pour le chauffage ,dépôt de pharmacie…) sont des mesures simples qui complètent notre projet pour faciliter la vie et par conséquent mieux vivre à la Brigue.

Soutenir et amplifier les aides à toutes les associations (comité des fêtes, préservation du patrimoine et des métiers de montagne, sport, culture..) qui contribuent au dynamisme et à l’animation du village tout au long de l’année.

Notre projet conjugue toutes les solidarités : sociale, géographique (Morignole, Sainte Anne, Bens et la vallée des Près ne seront plus tenus à l’écart !), générationnelle, natifs et nouveaux arrivants.

Sont Brigasques ceux qui aiment et respectent la Brigue


LA BONNE GESTION DES FONDS PUBLICS


En puisant nos idéaux dans les valeurs montagnardes, nous faisons preuve d'humilité en sachant qu'en démocratie les mandats ne sont que temporaires.
Nous aurons donc la responsabilité de bien gérer l'argent des contribuables.

Nous rappelons que l’équipe majoritaire sortante n’a pas rempli son devoir: réaliser en fonction des possibilités de trésorerie comme le ferait un "bon père de famille"
En revanche, durant 7 ans, elle a aggravé l’endettement avec de nombreux emprunts (ouverture d’une ligne de trésorerie de 250 000 euros le 23 novembre 2007, nouvel emprunt de 180 000 euros le 11 décembre 2007).

Il va de soi que tous les membres présents sur la liste du maire candidat, sortants ou non, doivent assumer ce bilan de faillite.

Nous héritons tous de cette dette y compris nos enfants.

Nous avons un réel défi financier à relever: nous l'envisageons avec lucidité et courage.


De manière clairvoyante et honnête, nous savons que TOUT NE SERA PAS POSSIBLE mais nous essayerons de FAIRE TOUT NOTRE POSSIBLE.

Nos engagements sont les suivants :

- réalisation d’un audit financier,
- renégociation des emprunts,
- conclusion d’un nouvel accord pour l’entretien de la station d’épuration (le contrat de 8 ans se terminant en février 2009, à raison de 55.000 euros par an),
- limite des emprunts au strict nécessaire,
- réduction des frais d’études aux travaux réellement indispensables,
- maîtrise des frais de fonctionnement,
- amélioration du quotidien sans dépense excessive( par exemple, réalisation au moment voulu par le personnel communal de l’entretien et des travaux indispensables tels que réfection des murs, entretien des routes et des sentiers, débroussaillage…),
- pas d’augmentation des impôts locaux (la taxe professionnelle est déjà la plus élevée du département, la taxe d’habitation est deux fois supérieure à la moyenne),
- redimensionnement du projet d’aménagement de la place de Nice ( en rapport avec la compatibilité de nos finances et maintien d’une zone piétonne),
- remise en cause du projet pharaonique d’éclairage des monuments historiques (plus de 300 000 euros),
- priorité aux acquisitions utiles: tout euro dépensé doit être un euro profitable,
- maintien des biens communaux.

NOS PROJETS

L’emploi à la Brigue est principalement constitué par les salariés de la "Maison d’Accueil Spécialisé", de la maison de retraite "Le Touzè" et de la Mairie.
Contribuent également à l’emploi les commerçants, les artisans, les éleveurs et les agriculteurs.
Tous prennent part à la vie du village.
Nous savons qu’il y a des demandeurs d’emploi et nombreux sont ceux qui quittent leur chère Brigue pour ne la retrouver que le week-end, car le travail se trouve sur la Côte. Quelques uns s’y rendent même quotidiennement.
Pour impulser une dynamique, il est logique que nous vous présentions un projet global comprenant :

- une amélioration du partenariat avec les employeurs,
- une réhabilitation de l’habitat,
- une facilité des activités commerciales, touristiques et artisanales,
- un encouragement des activités pastorales et agricoles tout en préservant notre nature et en favorisant un développement durable.

Nous nous en tiendrons à ce qui est utile, en évitant tout gâchis.

En ce qui concerne l’ancien hospice Pacchiaudi pour lequel la vente au prix de 180 000 euros (660 m2) est suspendue suite au renoncement de l’acheteur, nous envisageons :

- des logements pour actifs,
- un cabinet médical et paramédical,
- une structure d’accueil digne de la Brigue (Sécurité Sociale, assistante sociale, aide à l’habitation),
- un point multiservices
- une Maison de Pays

L’accent doit être mis sur la gestion des eaux : il faut maîtriser « la sauvage » et économiser « la potable ».
Nous prévoyons :

- le maintien de la régie municipale,
- la renégociation des contrats d’entretien,
- la nécessité des entretiens et la rénovation des réseaux d’alimentation et d’eaux usées,
- l’utilisation de la l’eau de la Foujë (la nuit),
- la réalisation effective des périmètres de protection des sources afin de garantir la sécurité de notre eau,
- la création de retenues collinaires et de bassins intermédiaires (prévention des crues, lutte contre les incendies, augmentation du nombre de personnes desservies, multiplication des points d’eau),
- la constitution d’écrans végétaux autour des deux stations d’épuration.

L’aménagement d’une zone artisanale (par exemple à la gare) est indispensable pour faciliter le stockage, la manutention et la transformation. D’ores et déjà, sont intéressés les entrepreneurs dans le bâtiment et tous les intervenants de la filière bois.

Un complexe sportif modulable dans le village est indispensable. Utilisé par les scolaires pendant la classe, il sera ouvert à tous les usagers le reste du temps.
Le parcours de santé sera relancé et entretenu.

Quant aux gîtes de Cianesse, leur destination sera fonction de l'état des lieux (diagnostic de l'installation récente d'étais)

Pour l’aménagement des places, des jardins et des parkings, le consensus est nécessaire. Pour garder l’authenticité de notre village, il y a lieu de faire des zones piétonnes dans certains espaces. Pour ce qui est des aires de stationnement, elles doivent être écologiques, c'est-à-dire engazonnées.

Les garages des pompiers seront agrandis.

A Morignole, l’ancienne école sera réaménagée en espace de vie commune, le clocher de l’Eglise restauré et les travaux d’eau et d’assainissement enfin exécutés.

Dans le cadre d’une véritable politique touristique :

- seront réalisées des aires de repos et un aire moderne d’accueil pour camping car.
- l’itinéraire de Sanson et du Marguareis sera amélioré.
- la construction d’un refuge moderne y sera encouragée.
- La Brigue doit devenir un centre international de randonnée.
- une foire agricole sera organisée à l’automne.
- impulsion d'une politique culturelle fondée sur notre héritage historique et artistique.

La mise en valeur du patrimoine doit être privilégiée par les mesures suivantes :

- instauration des aides à la modernisation des logements, maintien des aides aux particuliers lors des réfections des toits et des façades,
- entretien de nos 7 monuments historiques dont l’accès doit être optimisé (la chapelle de Notre Dame des Fontaines retrouvera son affluence en élargissant les plages horaires d’ouverture, en créant des toilettes et en aménageant les alentours),
- préservation de nos paysages traditionnels (programme européen).

Notre projet intègre toutes les composantes du développement durable :

- prévention des risques naturels,
- remise en état des rivières (recréer les seuils et le barrage place de Nice, colmater les trous) et des canaux d’irrigation,
- protection des forêts et de leur exploitation (source de revenus pour la commune),
- modification du Plan Local d’Urbanisme,
- développement des énergies renouvelables (panneaux solaires…),
- agriculture « propre ».


FIDELE A SON PASSE, TOURNE VERS L'AVENIR


Nous sommes confiants : en contribuant à rerouver un climat serein, le mieux vivre à La Brigue deviendra possible.
Nous accompagnerons toutes les initiatives.
La Mairie sera ouverte à toutes et tous.
La propreté sera instaurée.
Une gestion humaine et rigoureuse du budget et des projets est tout à fait envisageable.
Notre ambition pour La Brigue nécessite votre voix le dimanche 9 mars.
Vous savez que vous avez votre mot à dire et que vous l’aurez également après le scrutin.
Tout en étant fidèles à notre passé, AVEC VOUS, et ENSEMBLE, construisons l’avenir de notre cher village !

19 février 2008

NOS PROPOSITIONS POUR MORIGNOLE



Ancienne école :
Au premier étage, création d’une salle communale qui sera à la disposition pour le festin de la St Jacques, pour les associations, les chasseurs et autres morignolais.
Le dernier étage (ancien presbytère) pourra être aménagé en logement pour actifs.

Ramassage scolaire :
Il sera étendu à tous les enfants que les parents souhaitent scolariser, y compris ceux de la Maternelle, dans la mesure des disponibilités de l’école.

Eaux et assainissement :
Le fonctionnement de la fosse septique sera amélioré et son intégration paysagère sera réalisé (depuis un an un gros tuyau disgracieux traverse les jardins, très visible du pont et du parking inférieur).
Le problème récurrent jamais réglé, et qui a entrainé des procès actuellement en cours avec la mairie, sera pris au sérieux : les fuites du réseau d’eau, tant les eaux d’arrivées que l’évacuation des eaux sales, seront recherchées et une solution trouvée ; outre des problèmes d’hygiène (par l’écoulement dans certaines caves d’eaux usées !) et d’humidité importante dans plusieurs locaux, ces fuites peuvent remettre en question la sécurité de certaines maisons car le village est bâti sur des ciappes ayant une inclinaison vers le vallon .
Le tuyau de la surverse qui traverse le sentier de Ciappa sera enterré ou supprimé.
En raison du réchauffement climatique, des pénuries d’eau sont à prévoir pour les années futures : les réserves actuelles du château d’eau étant insuffisantes, il sera nécessaire d’envisager d’augmenter sa capacité.
Des périmètres de protection des sources seront instaurés.
Lors de travaux importants de voirie (par exemple rénovation du réseau d’égouts), il sera procédé à l’enfouissement des lignes électriques et téléphoniques, dans la mesure des possibilités techniques et financières.

Eglise :
Rénovation du clocher, avec mise en sécurité (certaines pierres en porte-à-faux menacent de tomber) puis ravalement des trois façades à l’ancienne, avec fresques telles qu’on peut encore les apercevoir. Entretien régulier du parvis, débroussaillement lorsque nécessaire.

Rues du village :
Comme à La Brigue, un effort particulier sera fait pour la propreté des rues .Un employé municipal sera affecté un jour entier par semaine à cette tâche ; il signalera à la mairie toutes les anomalies qu’il aura relevées ou que les gens du village lui auront indiquées (dégradations de l’empierrage des rues suite à des travaux privés par exemple, problèmes d’hygiène ou de sécurité publique, etc.).
Les réparations et l’entretien seront réalisés.
Le déneigement des rues sera aussi le plus rapide possible.
Appel sera lancé au civisme des habitants par rapport aux déjections canines.


Piste de Campe :
Son entretien sera assuré régulièrement.

Cimetière :
L’accès par le sentier inférieur sera sécurisé par la construction d’une passerelle ou d’une murette au départ, l’érosion de la piste ayant réduit cet accès. Un petit travail paysager sera réalisé par la plantation d’un ou deux cyprès et rosiers au niveau du portail.

Stationnement :
Un parking sera réalisé au niveau du transformateur électrique avec construction d’un mur amont en pierre, et l’élargissement de la route de Touane sera envisagé si de nouvelles places s’avèrent nécessaires.
Il sera fait appel au civisme des habitants pour ne pas laisser en permanence des véhicules inutilisés pendant de longues périodes sur les emplacements les plus proches de la place.

Place du village :
L’usage que les morignolais souhaitent faire de leur place donnera lieu à une large consultation publique. S’il en ressort qu’un usage piéton est voulu (pour les jeux des enfants et la convivialité par la pose de bancs publics) la place sera mise en interdiction de stationner et des obstacles physiques seront mis en place. Cette interdiction pourra concerner seulement une partie de la place, et (ou) une certaine période de l’année.

Place de Touane :
Elle fait partie des cinq lieux de détente qui seront aménagés sur la commune : une table en bois et des bancs seront installés et le stationnement sera maintenu par le débroussaillement de la totalité de la place.

Toitures :
Le village n’étant pas en site classé ou inscrit, la pose de panneaux solaires à production d’eau chaude ou d’électricité sera encouragée pour s’inscrire dans une démarche européenne en faveur des énergies renouvelables.
La liste des matériaux utilisables pour les toitures sera élargie, seule une palette de couleur sera imposée.

Vie associative :
Les deux associations actuelles seront des interlocuteurs privilégiés, les subventions pour la fête patronale seront augmentées et toute forme d’animation sera encouragée.

Communication :
Le village sera réellement pourvu d’un accès aux nouvelles technologies, en particulier l’ADSL et le téléphone portable.

Administration et vie participative :
Une commission mixte composée de morignolais et d’élus traitera des questions et des projets qui tiennent à cœur à la population pour un « mieux vivre à Morignole ».
Soit parmi les conseillers municipaux, soit par une personne autre, il y aura un représentant officiel des morignolais auprès de la mairie, chargé de transmettre les doléances et les réponses municipales.
En outre le panneau d’affichage sera mieux positionné.

18 février 2008

LES CANDIDATS DE "LA BRIGUE - AVENIR"








GASTAUD Bernard
51 ans, médecin conseil chef de service, conseiller municipal sortant











ALBERTI Eloi,
70 ans, artisan peintre retraité









ARBAUD Monique née BASSO,
36 ans, 4 enfants, mère au foyer












CLAUDE Jean-Jacques,
68 ans, cadre commercial à la retraite











DELLEPIANE Jean-Jacques,
48 ans, hôtelier











FRANCA Agnès née GUIDO,
57 ans, coiffeuse








GOTTERO Michel,
57 ans, directeur d’école honoraire












KRASNOPOLSKI Laurence née GIANELLI,
39 ans, secrétaire médicale











LANTERI-MINET Alain,
53 ans, chargé de mission au Parc National du Mercantour











LEROY Christian,
59 ans, hôtelier-restaurateur












MOLINARO Jean-Louis,
57 ans, agriculteur, conseiller municipal sortant











PASTORELLI Antoine,
60 ans, directeur de sociétés











ROSSI Françoise née FERRARA,
54ans, aide soignante,










SASSI Didier,
64 ans, artisan commerçant retraité, conseiller municipal de 1980 à 1983











TIGANI Mario,
34 ans, commerçant




12 février 2008

LES TROIS PROCHAINES REUNIONS


VISITE LE 2 FEVRIER à SAINTE ANNE



À l'occasion de notre visite du quartier Monaco/Sainte Anne le 2 février et des rencontres avec les habitants, nous avons pu établir un constat de faits affligeants.
Tout d'abord que ce quartier considéré "résidentiel riche" quand il s'agit des taxes d'habitation, est en réalité le "parent pauvre" de la commune. Nous tenons à réaffirmer que la situation géographique excentrée ne doit pas empêcher ce quartier original de faire partie de la Terre Brigasque.
Nous avons été indignés ensuite par le sentiment d'abandon qui se dégage dès l'abord:
Absence d'entretien de la route (ronces et broussailles, buses d'évacuation d'eau bouchées, défaut d'éclairage depuis 9 mois devant le logement des jeunes travailleurs du C.A.T. ...).
En période électorale, les promesses foisonnent. Elles sont faciles. Nous avons un devoir de vérité. Compte tenu de la situation sur l'ensemble de notre territoire communal, nous ne ferons pas des miracles, nous ne ferons pas tout, tout de suite. Mais le quartier Monaco retrouvera toute sa place au sein de la commune en associant étroitement ses habitants à la recherche de la solution de leurs problèmes.
Nous nous engageons à faire au moins deux visites par an afin d'évaluer les besoins et l'urgence de la mise en œuvre des moyens pour les résoudre.
Le Comité de quartier que nous encouragerons à constituer sera pour le conseil municipal un interlocuteur permanent privilégié et un aiguillon pour le respect de nos engagements.
Des améliorations peuvent être apportées rapidement:
- discussion avec la SNCF pour goudronner la portion de route qui lui incombe;
- goudronnage du départ de la route de Terris et mur de soutènement;
- débroussaillage et fleurissement à la charge de la mairie et non du citoyen - qu'il faut féliciter - qui le fait bénévolement;
- installation de bancs pour l'agrément des promeneurs.
Chacun comprendra que la prévention des risques naturels, tout en étant une préoccupation prioritaire, demande davantage de temps et de moyens. Nous nous engageons à accélérer le dossier.

COMPTE-RENDU DU 26 JANVIER 2008


A La Brigue, face au maire sortant en place depuis un quart de siècle, c'est la liste "La Brigue-Avenir" conduite par le Docteur Bernard Gastaud qui a ouvert la campagne d'information pour communiquer à la population les grandes orientations de gestion et surtout les ambitions pour animer le village.
Cette première rencontre candidats - population fut un réel succès puisque pas moins d'une centaine de personnes se sont massées ou se sont succédées dans la salle de l'accueillant Bar des Platanes.
La présentation des candidats permit de constater la volonté de représenter avec équilibre les âges, les activités, les sensibilités et les compétences qui seront utiles à la future gestion d'un village très lourdement endetté. Conseiller municipal sortant, le Dr. Gastaud a eu la possibilité de se familiariser avec tous les dossiers, même les plus délicats.
A cette expérience acquise s'ajoute le travail de préparation accompli depuis plusieurs mois par tous les membres de la liste sous forme de commissions qui ont "planché" à partir des résultats d'une vaste consultation lancée l'an dernier par le groupe minoritaire.
Pendant près d'une heure, Bernard Gastaud a pu tracer la dynamique qu'il souhaite impulser au village après, estime-t-il "des années d'abandon du quotidien au profit de projets aussi coûteux qu' incohérents".
La première préoccupation, c'est de retrouver la rigueur budgétaire en faisant des économies sur le superflu pour aller à l'essentiel. Avec beaucoup de lucidité et d'honnêteté, il a été convenu que personne ne pourra accomplir des miracles, mais en utilisant intelligemment toutes les forces vives et en faisant preuve d'imagination, on peut améliorer le quotidien sans dépenses excessives. A titre d'exemple, Bernard Gastaud insiste sur l'accueil en mairie qui doit être une véritable "maison commune" et sur l'entretien des rues du village et du hameau de Morignole. Il est insupportable d'entendre les touristes s'extasier devant nos richesses architecturales mais déplorer la saleté des rues.
L'accent fut mis ensuite sur la gestion des eaux, celles sauvages qu'il faut maîtriser et économiser, celles potables dont il faut rénover le réseau dont la vétusté est responsable de l'humidité des maisons. Autre préoccupation, et non des moindres, fixer au village toute l'année de nouveaux habitants en favorisant toutes les créations d'emploi, en réhabilitant les logements et en proposant des structures sportives et de loisirs pour toutes les générations sans oublier la création d'équipements d'accueil pour les activités liées à la santé.
Riche d'un patrimoine artistique, sylvicole, pastoral et naturel exceptionnel, l'équipe du Dr. Gastaud insiste sur une politique touristique de qualité en développant les capacités de l'Office de Tourisme et en mettant en valeur le massif du Marguareïs dans le respect de ses écosystèmes.
La réunion s'est prolongée fort tard par des commentaires, des échanges d'idées dans un climat fort convivial où aucune tension "pré électorale" n'était perceptible.

LA GALETTE DES ROIS LE 26 JANVIER


LA CAMPAGNE EST LANCEE avec la présentation de la liste et du programme

11 février 2008

UN LONG MANDAT DE SEPT ANS


Un mandat municipal dure six ans. Pour des raisons diverses, celui-ci a été prolongé d'un an. Ainsi s'achèveront le 9 mars prochain sept longues années pour représenter au sein du conseil municipal nos concitoyens qui nous avaient accordé leur confiance en mars 2001.
Dans ce dixième et dernier bulletin, nous tenons à dresser un rapide bilan de ce que fut notre présence - minoritaire avec 5 élus sur 15 - dans l'équipe municipale.

Ce ne sont pas moins de 56 conseils qui ont été réunis, c'est-à-dire une moyenne de 8 par an. C'est beaucoup. Certains se tinrent au grand complet, d'autres avec des conseillers absents (84 dans la majorité; 31 dans la minorité) et un qui n'a pas pu se dérouler faute de quorum (8 présents au moins).
C'est ainsi que des centaines de délibérations ont été prises au cours de 127 heures de débats. La plupart des séances n'ont duré qu'une heure ou deux. Celle du 28 décembre fut la plus courte (18 minutes), alors que le 26 mars 2006 il fallut 7H.30 pour épuiser l'ordre du jour (et les conseillers ...!). À ces heures passées en séance, il faut ajouter celles consacrées à préparer les dossiers avec leur discussion en conseil.

Souvent, le public fut présent dans la salle. Plus nombreux qu'au cours des mandats précédents, pas suffisamment selon nous car la population a aussi le devoir de suivre et de contrôler le travail et le comportement de ses élus.

Que retenir de ces longues années d'efforts pour, non seulement contribuer à gérer les affaires de la commune, mais surtout pour tenter de contenir les dépenses qui pouvaient attendre au bénéfice de celles qui sont urgentes, et enfin pour lutter contre toute forme de discrimination. Mais en démocratie, c'est la majorité qui a le dernier mot.
La discrimination, nous en fûmes les premières victimes car le maire et sa majorité n'ont jamais admis que nous ayons été élus au même titre qu'eux, avec les mêmes droits et les mêmes devoirs. En démocratie, tout pouvoir nécessite un contre-pouvoir. Les tentatives pour entraver notre travail furent nombreuses, surtout dans les premières années afin de nous décourager d'accomplir notre mission de contrôle et d'information. Cependant, nous n'avons jamais été une opposition systématique. Les délibérations prises à l'unanimité l'emportent nettement sur celles que nous avons rejetées.
Pouvions-nous accepter qu'on dépense 1.866 € pour remplacer 2 vitres à la chapelle alors qu'il y avait l'échafaudage pour le toit de l'église?
Pouvions-nous voter des budgets sans que soient définies les priorités dont le village avait un besoin urgent, en pratiquant une politique au coup par coup de fuite en avant en multipliant les emprunts?
En revanche, nous avons voté toutes les créations d'emplois (à la condition - non-accordée - de l'ouverture de la mairie le samedi matin).

Dans nos échanges, parfois rudes et passionnés, nous nous sommes tenus à la courtoisie républicaine qui s'impose car nous avions en face de nous non des ennemis, ni même des adversaires, mais des collègues qui avaient une vision des choses différente de la nôtre. La réciproque ne fut, hélas!, pas vraie: du refus de répondre à nos salutations jusqu'aux insultes et agressions verbales (à la limite de l'agression physique), rien ne nous fut épargné. Et si nous avons résisté et répliqué, c'est que l'offense atteignait surtout les centaines de personnes que nous représentions.

Ce dernier numéro d'information des élus minoritaires contient le compte-rendu des conseils des 9 et 28 décembre 2007.
Même si le mandat se termine par un nouvel emprunt de 180.000 € et une ligne de trésorerie de 250.000€, nous ne reviendrons pas sur la dette vertigineuse qui va peser pendant des décennies car nous avons déjà amplement alerté la population. Nous n'insisterons plus sur le contrat d'entretien de la station d'épuration qui a doublé le prix des factures d'eau. Ce contrat expire en février 2009. Il faudra être particulièrement vigilants car on sait, preuves à l'appui, qu'on peut obtenir trois fois moins cher.
Cependant, on ne pourra pas éviter de faire allusion aux gîtes en raison d'un nouvel épisode inquiétant.
Mais pour nous, il y a pire qu'une gestion qui peut prêter à discussion. Il y a la trahison de nos anciens dont on a bradé la généreuse volonté en sacrifiant leurs œuvres caritatives.

BREVE CHRONIQUE DE SEPT ANNEES

UNE ELECTION JAMAIS ADMISE

Nous affirmons en première page que notre élection n'a jamais été admise, même si, avec 10 élus, la majorité peut appliquer toutes ses décisions. Il faut croire que les questions que nous posions, les propositions que nous faisions pour être débattues étaient trop gênantes puisque quelques mois à peine après l'élection, les "questions diverses" avaient disparu des ordres du jour (dès décembre 2001).
Dans ces conditions, le reproche maintes fois répété que nous nous opposions sans rien proposer relève de la mauvaise foi.
Dans ces conditions, nous avons interpellé par écrit le maire. La dernière interrogation en date concerne les gîtes: pourquoi a-t-il fallu installer 8 étais pour soutenir le toit?
Mais le maire nous avait prévenu qu'il ne répondrait jamais à nos courriers.


NOUS AVONS OBTENU GAIN DE CAUSE pour la prise en compte des risques du Rio Secco.

Après que nous ayons constitué un dossier bien documenté auprès de Madame la Ministre de l'Environnement, nos collègues majoritaires ont enfin admis que les modifications climatiques font que le Rio Secco constitue, en cas de crue importante, un risque grave pour une bonne partie des habitations du village. Une étude hydraulique a été achevée en octobre 2006. Pour l'instant, les conclusions n'ont pas été communiquées au conseil municipal et par conséquent, les éventuelles mesures à prendre n'ont jamais été évoquées. Il faudra bien que la nouvelle équipe, quelle qu'elle soit, reprenne en main le dossier avant qu'il ne soit trop tard.
Autre élément de satisfaction: notre vigilance et celle de nos concitoyens ont obligé l'entreprise qui avait transformé le Rio Secco en décharge sauvage, à remettre un peu d'ordre. Mais le problème n'est pas résolu pour autant puisque le lit du Rio Secco est toujours encombré.
Que se passera-t-il en cas de crue avec un écoulement obstrué?
Cette étude (un peu chère) au moins est justifiée, si elle ne finit pas aux oubliettes comme le furent bon nombre d'études, fort coûteuses, qui n'ont jamais débouché sur rien.


DES ETUDES QUI N'INTERESSENT QUE CEUX QUI LES ONT FAITES.

Quelques exemples (la liste est loin d'être complète) des études qui ont été votées, qui ont été inscrites au budget, qui ont été payées et dont on n'a plus jamais entendu parler.

  • Les gîtes équestres de la gare. Le maire annonce fièrement: "le projet est ficelé, j'ai toutes les subventions". Coût facturé par un cabinet de Cannes: 78.935 fr. (12.000€)
  • Projet de skate parc d'abord dans le Rio Secco puis sur l'emplacement des tennis de la gare. Coût de l'étude: 1.790€.
  • Projet de faisabilité de chauffage à bois pour l'école. Coût de l'étude: 2500 € Hors Taxes. On ignore toujours si c'est faisable ou non. Mais pour ce prix, on aurait probablement pu aménager le garage attenant à l'école en salle de culture physique et en salle de cantine. Actuellement, nos enfants déjeunent dans le hall. Aménagement promis en 2004 mais jamais inscrit au budget.
  • Étude sur le château. Coût 20.500 €.. Mais le maire n'a toujours rien entrepris pour éliminer les dangers soulignés par son propre arrêté de péril.
  • Etude "Plan-lumière" pour éclairer les monuments historiques. Coût: 5.650€. Si on réalise ce projet, il faudra débourser 252.000 €.

PROJETS PERDUS DE VUES ET ENGAGEMENTS NON TENUS

  • Gîtes équestres de la gare. Le 1er octobre 2000, le maire annonce le dépôt immédiat du permis de construire, auquel il ajoute une aire omnisports. Passé à la trappe en silence.
  • Au début du mandat (juin 2001) on nous fait croire que l'ancien hospice Pacchiaudi est destiné à accueillir des classes vertes. Coût prévu par l'étude d'aménagement par un architecte de Cannes: 2.590.000 fr. (394.842 ¤). Nous sommes d'accord. On n'en a plus jamais entendu parler. Nous demandons l'état d'avancement du projet. Réponse du maire, ça ne se fera pas car Jeunesse et Sports ne subventionne pas. Mauvaise réponse car J. et S. ne subventionne pas les projets mais les accompagne de ses conseils et aide technique.
    On a découvert récemment qu'un précédent projet prévoyait des appartements et un musée de la géologie et que la Région avait versé une importante subvention pour la réalisation de ce programme.
    On connaît la suite.
  • Le maire s'était engagé à informer la population par un bulletin régulier. Il a même créé une commission pour sa rédaction. À quand remonte la dernière parution?
  • Le maire s'était engagé à consulter la population sur le projet d'aménagement de la place de Nice. L'étude est faite et payée. On annonce le début des travaux pour très bientôt, mais la population attendra pour être consultée.

STATIONNEMENT ET PARKINGS

Notre pression pour doter raisonnablement le village en place de parking a été constante, surtout après l'interdiction de stationner avenue de Gaulle. Cette interdiction et la profusion de P.V. qu'elle entraînaprovoquèrent une manifestation de commerçants (du jamais vu à La Brigue), la colère des verbalisés et une image catastrophique pour le tourisme.
Le garde champêtre est parti et le stationnement a repris comme avant depuis le début de l'été. Il ne s'est produit aucun problème de circulation.
Que de tensions auraient pu être évitées sans un entêtement incompréhensible! C'est la preuve que cette interdiction était inutile.
Depuis, on a vu fleurir les pancartes indiquant les parkings P1, P2, P3 et P4 (comme dans les aéroports). Il est dommage que nos collègues n'aient jamais jugé utile de connaître et de débattre ce que nous avions à proposer de moins cher et de plus fonctionnel, sans achat ni expropriation.

LES GÎTES: UN ECRAN DE FUMEE

Il faudra bien qu'un jour une expertise (un "audit", pour parler moderne) soit réalisée sur le prix de revient final des gîtes, de leur aménagement et surtout des adductions d'eau. Un bref rappel: le maire annonce le 25 juin 1999 "on a pris du retard; on réalise un bassin". Au conseil municipal du 26 mai 2000 (à 23 h. exactement) le maire promet: "les gîtes seront terminés début juillet".
En 2006, on en était toujours à chercher l'eau, de plus en plus profond. Comment concevoir qu'un permis de construire ait été délivré sans adduction d'eau potable. Et voilà que maintenant il faut étayer le toit!

POUR PRENDRE CONGE DE NOS CONCITOYENNES ET CONCITOYENS

D'autres souvenirs, d'autres actions nous viennent à l'esprit (le respect du souvenir des Déportés, l'intervention auprès du Ministre de la Culture pour renforcer la galerie de Notre Dame des Fontaines qui s'effondrait, notre obstination à doter le sanctuaire de sanisettes, l'intervention auprès du Ministre des Handicapés pour que des places de stationnement leur soient réservées).
On pourrait remplir des pages et des pages sur sept années souvent difficiles mais vécues avec le sentiment du devoir accompli.
Aurait-on pu faire plus? Aurait-on pu faire mieux? Nous avons fait de notre mieux dans le contexte imposé.
Un mandat s'achève. Un autre va commencer. Peut-être sera-t-il temps d'écouter avant de faire et de penser avant de dépenser.

En 2001, notre liste L.A. B.R.I.G.U.E. était conduite par Liliane Pastorelli. Dès le 25 mars, elle passait le témoin à Bernard Gastaud qui devint le porte-parole du groupe. Il s'acquitta de sa tâche avec courage, avec efficacité et ténacité.
C'est donc tout naturellement le Dr. Bernard Gastaud qui conduira une nouvelle liste chargée de défendre une certaine idée de La Brigue et de sa civilisation, associant harmonieusement rupture et ouverture.